- Ce sujet contient 2 réponses, 3 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
, le il y a 13 années et 5 mois.
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Sujet
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bonjour à tous,
Au mois de janvier, j’ai subi une néphrectomie du rein droit. En effet, j’ai des reins polykystiques remplis de calculs et je fais régulièrement des pyélonéphrites. Mais depuis cette opération, je stagne entre 9 et 10 de tension. Mon néphro m’a dit que c’était normal. Seulement, j’ai récemment fait une infection sur le rein gauche (c’est la 2e depuis janvier) et suite à ça, il serait question de me l’enlever également. Je peux comprendre que l’on ne puisse pas me greffer si il y a des risques infectieux, sans compter que ces infections sont très résistantes à quasiment tous les antibiotiques. Mais j’avoue que de me retrouver sans rein me fait peur. Ma tension serait encore plus basse (aux environs de 7). Je me sens déjà fatiguée en ce moment, mais là ce serait encore pire !!! Je vais vivre couchée.
Actuellement, je suis dialysée, mais j’ai encore une diurèse. Ce qui me permet de prendre très peu de poids entre chaque dialyse, environ 1 kg. Si je n’ai plus de rein, ce sera terminé.
Quelqu’un a t-il vécu cette situation ?
Merci pour vos réponses.
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Réponses
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Bonjour, ma fille Morgane agée de 29 mois est née avec une agénésie rénale droite et une dysplasie multikystique gauche. Elle est dialysée depuis qu’elle a 3 jours. En février dernier elle a subi une néphrectomie suite a une hypertension résistante malgré les médicaments.
Malgré cette intervention la tension restait tres dur a stabiliser. Avec un bon programme de dialyse et 3 anti hypertenseurs sa tension reste autour de 10,5, mais des qu’elle prend trop de poids elle remonte en fleche.
Pour ma fille l’absence totale de reins n’a pas changé beaucoup de chose.
Courage, KarineBonjour,
On m’a enlevé mes 2 reins natifs à l’âge de 25 ans suite à une pyélonéphrite mal diagnsotiquée. En 4 jours, 4 opérations, septicémie…et plus de reins, le choc, alors que tout allait bien une semaine avant. Je ne reviendrai pas sur cet épisode douloureux de ma vie.
La dialyse a ensuite pris place dans ma vie, à raison de 3 séances de 4h /semaine car je n’avais plus aucune diurèse. Autant vous dire qu’il a fallu être extrêmement vigilant sur la ration hydrique et le régime alimentaire car, aux premiers excès, ma tension était en hausse et je fatiguais plus. Malgré ces grandes contraintes, j’ai pu mené une vie sociale en faisant mes courses, en partant en WE (train+métro seule) et vacances. Mais il est vrai que la fatigue était très présente et pesante. J’ai par ailleurs demandé des séances de kinésithérapie, qui m’ont légèrement remusclées et entretenues.
Aujourd’hui greffée (don maternel), j’apprécie la Liberté.
Alors je vous souhaite bon courage et ne baissez jamais les bras!
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