- Ce sujet contient 14 réponses, 9 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par , le il y a 17 années et 11 mois.
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Sujet
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Aprés une semaine de dialyse DPCA, premier bilan sanguin: urée divisée par 2 (25 contre 50), mais créat en baisse mesurée (660 vs 760) et stabilisatiion du phosphore (1,65). Il faut continuer à prendre la dizaine de médicaments que j’ai en IR; j”ai tout de même espoir que la créat continue un peu à baisser (le smollécule sont plus grosses que l’urée et cela passe moins vite dans le péritoine), mais il ne faut pas espèrer que cela passe sous les 400 à 500. De toutes façons, physiquement, je ne vois pas vraiment de différence (mais cela est certainement dû à l’effet masquant de l’EPO et des médicaments).
A part ça, psychologiquement, la dialyse c’est dur: 3 fois par jour (45′), plus le changement de pansement tous les jours au début :30′), plus les prises de tension, poids, température, médicaments…on a l”impression d’être à l’hopital en permanence. On n’est pas trés libre de ses journées à cause de la dialyse de la mi-journée. Le matin, dialyse +pansement+toilette( douche difficile en morceaux: ne pas mouiller le pansement)= 1h40’…c’est long.
En semaine, aprés déjeuner je rentre chez moi pour la dialyse, c’est aussi assez contraignant.
L’aspect positif et que cette dialyse ne fatigue pas l’organisme et que ma journée de travail, même si elle démarre un peu plus tard le matin, n’a pas de grosse coupûre (sauf la visite à l’hopital au début une fois par semaine avec visite nephro, prise de sang, changement pansement,…).
Bref, la dialyse, c’est dur. Je commence à attendre la greffe (déjà 16 mois que je suis sur la liste, encore à peu près autant à attendre…)
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