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, le il y a 17 années et 11 mois.
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Sujet
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Bonjour, nous voulons acheter une maison mais on nous mets des batons dans les roues.
Nous avons signé un compromis de vente en juilllet et nous avons encore aucune nouvelle des banques.
Les assurances des banques n’arretent pas de nous demander des papiers supplémentaires.Résultat nous ne savons pas encore si nous pourrons avoir enfin le plaisir de quitter notre appartement.
Nous avons envoyer des dossiers dans des assurances pour risques aggravés.Memes ces assurances ne veulent pas de nous.(mon ami est sous dialyse péritonéale depuis 1 an).ils disent de revenir 6 mois apres sa greffe.(ne savent ils pas qu’on peut attendre des années avant d’etre greffé???)Donc en plus d’etre malade on a pas le droit d’avoir une vie comme tout le monde.
En attendant tous nos projets de fonder une famille tombent à l’eau.On a le moral au plus bas.désolé d’avoir été si longue mais j’en ai gros sur le coeur.
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Réponses
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Merci poli mais je me suis déja renseigné à la FNAIR et à la AIR mais les assurances qu’ils m’ont donné ont rejeté le dossier.Je suis toujours en attente de la réponse de la CNP.l’agence immobilière nous a donné un delais supplémentaire de 14 mois pour trouver.
Tu as raison quond on ne peut pas réaliser ses projets c’est déprimant.merci t’avoir penser à regarder.on devrait profiter des prochaines élections, et se battre pour la suppression du questionnaire médical qui est une horreur juridique
Il a pour fonction de sé-lec-tion-ner les gens, pour minimiser le risque pour les assurances
Notre problème est que notre risque est diffcilement calculable, on ne dispose pas de table de mortalité permettant d’évaluer le risque.
Seule solution, interdire le questionnaire médical, et augmenter (très faiblement) le coût de l’assurance pour chacun : après tout, en tant que contribuable, on paie bien d’autres choses dont on ne veut pas.
Est-ce que la fnair pourrait porter ce dossier ?
Je suis d’accord avec Triton et Minette31. Le questionnaire médical devrait être abrogé, car il est non seulement inique, mais de plus illégal.C’est une atteinte au secret médical et à la personne. Les droits de l’homme ne sont pas loin d’être bafoués! Car ne l’oublions pas, nous sommes des personnes malades et fragiles.
Mais nos politiques n’en ont rien à faire tant qu’ils ne sont pas touchés eux-mêmes, et les assurances ne sont pas des oeuvres philantropiques, loin s’en faut!
Oui, nous pourrions faire une lettre ouverte aux députés, ainsi qu’à nos maires respectifs (qui sont souvent soit député, soit sénateur). La FNAIR pourrait nous donner un coup de main (ou de crayon), et parmi tous les rénaliens, n’y aurait-il pas un journaliste ?
Affaire à suivre……. 😉LA LISETTE
(enfin une discussion sans prise de bec ni coup bas)
Tout à fait d’accord avec vous tous, et j’ajouterai : Parmi les députés, senateurs et autres représentants du peuple n’y en a t’il aucun qui souffre d’ IR ?
Pour info, je viens de contracter un prêt personnel pour faire face aux charges, impôts, cotisations et assurances diverses qui m’attendent d’ici décembre (rappel : je suis indépendant donc sans ressource pendant la maladie). J’ai tablé sur le fait que je serai à 100% de mes capacités en novembre prochain et j’ai prévenu mon banquier ( CA de Franche-Comté)des risques. J’ai rempli honnêtement de questionnaire médical de la CNP et le dossier est passé …
Ce qui me permet de rebondir sur une autre abherration méconnue. Nous sommes une frange de la population totalement dépourvue d’assurance “perte de gain”. Seuls les plus fortunés des indépendants peuvent se couvrir des risques de la maladie en souscrivant à des assurances privées hors de prix. Pour en avoir discuté avec des architectes, infirmières à domicile et autres, aucun n’y ont souscrit. Vous devez cotiser 10 euros par jour pour en toucher 30 … après un délai de carence qui varie de 1 à 3 mois. Bref, c’est inutile et impayable ! La seule solution c’est de puiser dans ses propres réserves et tout le monde n’en dispose pas.
Pour ma part, j’ai découvert ma maladie en octobre 2005 soit 3 mois après m’être “mis à mon compte”. J’ai dû m’incrire au RMI et j’y ai eu droit pendant la durée de mon hospitalisation (octobre à décembre). J’ai également perçu une aide de 1000 euros sur le fond d’aide sociale de ma caisse maladie. J’ai remercié tout le monde, mais ça ne faisait de loin pas le compte pour nourrir et scolariser mes 4 enfants, et rembourser une maison. Toute notre épargne y est passée ! Le temps de mettre la dialyse en place et sortir le tête du trou, j’ai repris mes activités pleinement en février 2006.
Et maintenant, la greffe qui me tombe dessus ! (je rigole, je n’attendais que ça, néanmoins nos réserves financières sont toujours aussi nulles).
Je me serais bien passé de vivre cette année d’épreuve de la maladie sans les soucis financiers qui l’ont accompagnée.Suis-je seul dans ce cas parmi les rénaliens, êtes-vous tous salariés et bien assurés ?
Le “jeune” greffé heureux, mais soucieux
Bonjour Angélique et salut à toutes et tous,
Je viens apporter ma touche d’espoir dans ce post de discussion, en vous racontant ma propre expérience.
Je ne suis pas IR mais femme (très récent, le mariage date de juillet…hi hi hi) d’un homme merveilleux IR en dialyse depuis 4 ans et sur liste d’attente de greffe depuis 4 ans aussi. On cumule les mauvais points : région parisienne, nephronophtise et groupe O…
Bref, nous aussi, tout comme toi, on a souhaité acheter en prévision d’un futur bébé.
Nous avons mis plusieurs mois et risqué de voir la vente échouer, car nous aussi nous sommes heurtés à un mur de silence face aux assurances.
J’ai fais 4 assureurs dont les AGF qui ont un partenariat avec la FNAIR et qui soit dit en passant, sont les seuls à nous avoir refusés !! Bravo le partenariat.Finalement et à force de relancer sans cesse, nous avons été acceptés chez GENERALI.
Le plus “drôle” c’est que les AGF refusaient le dossier de mon mari, un autre assureur excluait le risque décès pour cause d’IR et finalement, Generali garantit tout !!
Le principe est qu’à un premier niveau le dossier est refusé, puis il passe en deuxième niveau auprès du médecin conseil avec dossier spécifique à l’appui et là, on te dit non ou oui mais avec une surprime.
C’est ce qui a été notre cas. Elle est conséquente, mais ca vaut la peine. Mais il a fallu les pousser pour avoir la réponse dans les temps.Il faut savoir que les assureurs n’ont légalement pas le droit de refuser une assurance, car il y a une convention : la convention Bellorgey, qui les oblige a trouver un produit d’assurance, quel que soit les problemes de santé.
Mais en pratique, c’est loin d’etre le cas.Je ne saurai que trop te conseiller de persévérer dans tes recherches.
Ca en vaut vraiment la peine et surtout, comme ca a été dit, c’est trop injuste quand on est malade ou compagne de malade de ne pas voir ses rêves se réaliser avec toute la souffrance qu’on subit déjà au quotidien.C’est dommage de devoir se battre sansa cesse, mais quand à la fin, on gagne, on est en que plus fiers !
Kandine
Merci kandine de partager ton expérience.Nous aussi nous avons envoyer un dossier à généralli vi handi assur depuis aout 2006 et nous n’avons toujours pas eu de réponses.c’est vrai que c’est long pour avoir une réponse.Nous ne baissons pas les bras et nous esperons que nos efforts porteront leur fruit.
Nous voulons vraiment que ce projet se réalise.
Je suis d’accord avec ceux qui pesent que le questionnaire médical devrait etre banni et que tout le monde paye pareil.on devrait profiter des prochaines élections, et se battre pour la suppression du questionnaire médical qui est une horreur juridique
Il a pour fonction de sé-lec-tion-ner les gens, pour minimiser le risque pour les assurances
Notre problème est que notre risque est diffcilement calculable, on ne dispose pas de table de mortalité permettant d’évaluer le risque.
Seule solution, interdire le questionnaire médical, et augmenter (très faiblement) le coût de l’assurance pour chacun : après tout, en tant que contribuable, on paie bien d’autres choses dont on ne veut pas.
Est-ce que la fnair pourrait porter ce dossier ?
Non mais c’est impossible de supprimer le questionnaire médical….
Une assurance c’est une entreprise privée qui veut faire des profits et donc minimiser ses risques… De même vous imagineriez qu’une banque prête sans voir votre fiche de paie ?? elle ne prête pas à quelqu’un en CDD ou intérimaire qui se trouvera sans revenu dans peu de temps.Je suis dans la même situation que vous mais voilà c’est comme ça.. le problème est que ceux qui font les modèles ne connaissent rien aux maladies.. ils se basent uniquement sur quelques chiffres qu’ils peuvent recueillir..
les journaux n’en parlent évidemment pas, mais tout le monde l’évoque, la chûte des prix de l’immobilier est imminente, il ne se vend plus rien.
C’est une chance pour nous, car nous représentons des acheteurs potentiels en grand nombre (10 million sde français ?) et les pouvoirs publics rechercheront peut-être à augmenter le nombre d’acheteurs pour faire remonter les prix.la chûte des prix de l’immobilier est imminente
faut pas rêver….seul un niveau de construction beaucoup plus soutenu qu’actuellement, et sur de nombreuses années, pourrait inverser la tendance. Les taux d’intrérêt ne sont pas actuellement vraiment dissuasifs.
Il faut aussi prendre en compte les limites de constructtion dans les grosses agglomérations, comme Paris.
La tendance, comme montrée dans la presse, est plutôt à l’allongement de la durée des prêts, ce qui ne va pas dans le sens d’une baisse des prix.
Bref, l’immobolier reste encore un bon placement, surtout avec une vision long terme pour résidence principale.l’immobilier a progressé 4 fois plus vite que le pib
on constate, dans les banques qu’il n’y a plus de primo accédants, les taux remontent parce que l’on ne peut plus les capter
Le décrochage entre le prix de l’immobilier et les salaires est patent
La baisse est inéluctable, les arbres ne grandissent pas jusqu’au ciel.Par contre, le prêt à 50 ans risque d’être un peu plus long que la durée moyenne de greffe, à moins qu’il soit aussi théorique que la durée de cotisations retraite que personne n’atteindra plus. Il est en fait destiné à permettre à des gens qui n’en ont pas les moyens d’acheter, sachant qu’ils n’arriveront pas au bout, et qu’ils revendront avant, vivant dans une sorte de loyer perpétuel. Il est intéressant si l’immobilier augmente de 5 % par an, pendant des décennies.
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