- Ce sujet contient 7 réponses, 3 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
, le il y a 3 années et 4 mois.
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Sujet
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✅ Nous annoncions leur arrivée imminente, c’est désormais chose faite : deux cocktails d’anticorps monoclonaux contre le Covid19 désormais accessibles aux patients insuffisants rénaux sévères, dialysés ou greffés contaminés, avec de…
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Réponses
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- Néphropathe confirmé
- ★★★★
- 293Message(s)
Bonjour, pouvez-vous s’il vous plaît expliciter davantage les points suivants de votre article :
– l’efficacité du traitement doit être évaluée 7 jours après car il existe un risque d’EMERGENCE DE VARIANT”
ET
– le patient doit s’isoler 14 jours après l’administration du traitement.Honnêtement j’espère mal comprendre parce qu’en l’état de ma compréhension, c’est proprement EFFRAYANT. C’est effrayant de se dire qu’on multiplie le risque d’émergence d’un variant en confiant cela au bon vouloir d’une personne de s’isoler.
Bonjour, pouvez-vous s’il vous plaît expliciter davantage les points suivants de votre article :
– l’efficacité du traitement doit être évaluée 7 jours après car il existe un risque d’EMERGENCE DE VARIANT”
ET
– le patient doit s’isoler 14 jours après l’administration du traitement.Honnêtement j’espère mal comprendre parce qu’en l’état de ma compréhension, c’est proprement EFFRAYANT. C’est effrayant de se dire qu’on multiplie le risque d’émergence d’un variant en confiant cela au bon vouloir d’une personne de s’isoler.
En effet, le variant anglais est apparu suite à l’administration d’un cocktail de ce type à un patient immunodéprimé…
Pardon, les 14 jours était une coquille, l’isolement dure au moins 10 jours, pour toute personne atteinte du Covid, indépendamment de ce traitement (voire plus longtemps si les symptômes durent).
Quand à l’émergence de variant, c’est un risque connu pour toutes les personnes immunodéprimées contractant un Covid, mais qui était aggravé par la monothérapie. Il semble que ce risque soit très réduit par les bithérapies. Néanmoins la surveillance virale reste prévue, et elle permet aussi de surveiller l’efficacité du traitement.C’est très peu probable, ces cocktails sont très récents et n’étaient pas utilisés en Angleterre lorsque le variant est apparu autour de septembre dernier.
- Néphropathe confirmé
- ★★★★
- 293Message(s)
10 ou 14 jours d’isolement, là n’est pas le coeur du problème (encore que si, c’est sûrement le coeur du problème, j’ai lu à plusieurs reprises que le virus pouvait rester actif bien plus de 10 jours chez les personnes immunodéprimées justement…), le souci est de contrôler que cette personne n’a effectivement AUCUN contact pendant sa période d’isolement, et l’isolement tel qu’il est encadré en France ne permet pas un tel contrôle.
Ça me paraît juste très dangereux dit comme cela, ce que vous expliquez pour le moment, même avec une bithérapie, c’est pour cela que je demandais des précisions, sur ce que le protocole a prévu, si les médecins qui vont administrer ces traitements sont rassurés par ces protocoles.
Quant à cette histoire de patient zéro du B.1.1.7., immunodéprimé, je l’ai aussi lue mais je ne sais pas ce qu’il en est réellement.
Dans tous les cas ça ne me donne aucunement envie de recevoir ce traitement si je devais être infecté.
C’est très peu probable, ces cocktails sont très récents et n’étaient pas utilisés en Angleterre lorsque le variant est apparu autour de septembre dernier.[/
« Un nombre important de mutations ont été observées chez des patients immunodéprimés, chez qui l’ARN du coronavirus reste détectable environ deux à quatre mois. Cette durée est suffisante pour que la population virale présente une plus grande diversité génétique. Il est donc possible, selon le rapport des chercheurs du COG-UK publié le 19 décembre, que ce lignage soit apparu chez un patient immunodéprimé atteint chroniquement du Covid-19. »
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