Pour moi le rapport de la cour des comptes enfonce des portes ouvertes, dire que la greffe est le meilleur traitement, je crois que nous le savons tous.
Dire qu’il manque des greffons, idem, maintenant la vraie question, c’est que fait on pour trouver des greffons?
Pour le don des vivants, je pense que les limites posées actuellement sont bonnes et raisonables. OK le don est long, fastidieux, chronophage, etc… mais au moin s on est sur que le donneur est motivé. D’autrre part le cas du CHU d’Angers, je crois qu a été condamné pour ne pas avoir demandé au dernier moment aqu donneur si il était d’accord doit aussi refroidir certains centres, et on peut les comprendre.
Enfin, comment fait on pour avoir plus d’organes de donneurs décédés? Perdre un être cher, souvent jeune, et de manière inattendue, ce sont quand même les meilleures chances de réussite du don, est particulièrement éprouvant pour une famille. Face à ce que tous prennent pour 1 injustice de la vie, et que la greffe n’est pas un sujet dans la famille, comment faire accepter à cettte famille de touche à l’intégrité du cadavre d’un être cher, ce ne doit pas être aussi simple que cela.
Alors ensuite si on doit vraiment obtenir plus de dons, il faut peut être n’avoir aucun tabou dans l’étude, je dis bien dans l’étude:
. Dédommager financièrement, socialement, avantages en nature, le donneur vivant?
. Alléger les frais de succession des donneurs décédés?
. Aider la famille dans le règlement des obsèques?
Je sais ces solutions peuvent paraitre extremes, mais dans le même temps, n’occultons pas le problème économique, une greffe réussie coute à terme moins chere à la société qu’une dialyse. Je peux paraitre très froid et cynique sur le sujet mais à un moment si on veut plus de greffons, c’est bien une question qu’il va falloir se poser.
Enfin pour les dons n’alla nt pas au bout, dans ma cas 3 donneurs potetniels, 1 non compatible, 1 problème de santé détecté, et le troisième m’a donné son rein.