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25 septembre 2007 à 12 h 21 min #13208
Bonjour,
Juste une petite question à propos de la franchise médicale,
Es-ce que les personnes en ALD devront payer les 50 cts de franchise par boite de médicaments ??? 🙁
Merci
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CréateurSujet
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AuteurRéponses
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5 octobre 2007 à 13 h 09 min #13275
oui c’est vrai toute cette organisation combien ça va couté ….
5 octobre 2007 à 15 h 46 min #13276J’ai trouvé encore une autre information sur ce qui se prépare
en date du 17/9/2007 toujours la même sourceAndré
Les ALD sur la sellette
Les affections de longue durée (ALD) concernent 12 % des assurés du régime général, représentent 60 % des remboursements (40 % des soins de ville) et constituent 80 % de l’augmentation des dépenses. Le poids de ces maladies ne pouvant qu’augmenter dans les prochaines années, leur réforme semble inéluctable, comme le suggèrent le président de la Caisse nationale d’assurance-maladie et les responsables du rapport sur le « bouclier sanitaire ».
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Michel Régereau (Cnam), Raoul Briet (HAS) et Bertrand Fragonard (Haut conseil pour l’avenir de l’assurance-maladie) : un consensus pour une réforme (photos S. toubon et P. grollier)LORS D’un ENTRETIEN à « la Tribune », le président Cfdt de la Caisse nationale d’assurance- maladie (Cnam) déclare qu’il n’a « pas de dogme sur la prise en charge à 100 % des ALD, si l’on mène une réflexion coordon- née avec l’assurance-maladie et les organismes complémentai- res ». Les déclarations de Michel Régereau marquent une étape de plus dans la révolution de velours dont les ALD font l’objet depuis la réforme Douste-Blazy de 2004. Le fardeau des dépenses ALD est considérable pour l’assurance- maladie : ces pathologies longues et coûteuses (cancers, diabète, Alzheimer…) « concernent 12 % des assurés du régime général et représentent 60 % du total des remboursements » (environ 40 % des dépenses de soins de ville), rappelle Michel Régereau. Et les ALD constituent 80 % de l’augmentation des dépenses. Or le poids de ces maladies graves ne peut que s’accroître, du fait de leur caractère de plus en plus chronique (taux de survie en hausse), du vieillissement démographique et du progrès technologique. A l’horizon 2015, selon la Cnam, ces maladies toucheront « 12 millions de personnes » (contre 8 millions aujourd’hui) et mobiliseront « près de 70 % des dépenses d’assurance-maladie ». Face à ce défi, les pouvoirs publics ont déjà entrepris de contenir ces dépenses ALD de plusieurs manières. Tout d’abord, la Sécu s’efforce de ne prendre en charge à 100 % que les soins relatifs aux ALD et rien qu’aux ALD. C’est pourquoi les caisses incitent les médecins à respecter strictement les règles de l’ordonnancier bizone depuis la convention médicale de 2005.
D’autre part, l’assurance-maladie fait le pari que des patients ALD mieux soignés présentent moins de complications grâce à la prévention et lui permettent, le cas échéant, de faire des économies sur le long terme. Depuis 2006, la Sécu oblige donc progressivement les bénéficiaires du régime ALD à suivre de nouveaux protocoles de soins, établis à partir des recommandations actualisées de la Haute Autorité de santé (HAS).
Les récents propos du président de la Cnam vont encore plus loin puisque Michel Régereau approuve implicitement l’idée d’une révision globale du périmètre du régime ALD. Il est vrai que celle-ci semble plus que jamais à l’ordre du jour. Dans ses propositions au gouvernement pour 2008, l’assurance-maladie affirme qu’« une gestion rénovée de la liste des ALD devrait conduire à en réserver le bénéfice aux pathologies qui sont véritablement longues et coûteuses ».
En 2006, la Sécu réfléchissait déjà à l’exclusion des formes non compliquées du diabète. La HAS doit justement proposer cet automne une révision des critères médicaux d’admission au régime ALD. Enfin, selon « les Echos », le rapport commandé à Raoul Briet (en charge des ALD à la HAS) et Bertrand Fragonard (président du Haut Conseil pour l’avenir de l’assurance-maladie) sur le « bouclier sanitaire »* pourrait suggérer une grande réforme des ALD par ricochet. Les deux experts envisageraient en effet « la création d’un ticket modérateur sur les ALD, qui pourrait être initialement de 5 % ». A moins que le bouclier sanitaire n’aboutisse à la suppression pure et simple du régime ALD.
> AGNÈS BOURGUIGNON
5 octobre 2007 à 17 h 13 min #13278Il est vrai que pendant longtemeps et peut être encore aujourd’hui les médecins de famille mettaient les personnes âgées à 100%. Une sorte de privilège de l’âge accepté par tous. Ce fût le caz de mes grands parents par exemple qui n’avaient ni pb financiers, ni de maladies particulières à l’exception des pb liés à la vieillesse (HTA, …etc).
dionc revoir le périmètre du 100% d’une part et des ALD d’autre part n’est pas forcément une mauvaise chose.
De toute façon on manque d’argent et ça ne va pas s’arranger dans les années qui viennent. Il n’y a donc pas des milliers de solutions non plus… 🙁12 octobre 2007 à 19 h 36 min #13306Breakning news! La FNAIR se bouge le popotin a travers de tadada: Wellcom!
La veille ils sont vachement indignés par les franchises Et appele a manifester contre, et chose extraordinaire demande a signer la pétition… La FNAIR toujours sur le pont … Ha mince ça fait même 3 choses dans un comuniqué de la FNAIR… on etaient plus habitués depuis le temps
Allez c’est la
http://www.fnair.asso.fr/
Vi c’est le même texte que chez Rein Echos -
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