- Ce sujet contient 6 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
, le il y a 8 années et 10 mois.
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Sujet
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Bjr à tous,
Tout est dans le titre. Sachant que l’insuffisance renale terminale se trouve être une contre indication aux coronarographies, mon cardiologue m’en propose avec une vive insistance…
Après une petite fouille sur le net j’ai également découvert que d’autres examens feraient très bien l’affaire (angio irm, scanner à multicouches…).
Il me paraît tout de même suicidaire de vouloir faire une coronarographie dans ces conditions.
Votre avis ?
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Réponses
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Bonjour,
Pour prendre un exemple celui de mon frère qui est décédé depuis peu de temps :
Il avait près de 40 ans de dialyse et souffrait de calcifications importantes (cœur, valves…) et son néphrologue souhaitait pourtant faire effectuer chez lui une coronarographie mais son médecin traitant l’a bien mis en garde : “Ils veulent vous tuer !”
Donc prudence.
Bonjour,
J’ai subi en bilan préopératoire une coronarographie sans aucun probleme, étant en irct, dialysé et anurique ; la contre indication vient du possible oedeme pulmonaire suite a l’injection de produit iodé, cet obstacle peut etre contournée par un produit de contraste a faible osmolarité ( un peu technique mais tout a fait compréhensible pour un opérateur de coronaro ), et encadré par une dialyse immédiatement avant avec une soustraction liquidienne maximale ( un peu en dessous du poids sec ).
En esperant vous avoir donné un point de repère,
Cordialement,
erwan
En 2001, j’ai subi en bout de course de mes reins natifs,
en bilan pre-greffe une coronographie sans problème à l’âge de 50 ans environ
pour vérifier l’état des dépôts possibles “dans ces tuyaux” en liaison avec du cholestérol.
Grosse appréhension,signature d’une décharge
mais passeport ensuite pour une possible greffe.Actuellement je ne sais comment les choses ont évolué.
Mais déjà à l’époque, existait déjà l’échocardiogramme
et cela n’avait pas été suffisant.Y
Bonjour a tous,
Je rebondis sur ce post ; j’ai en effet subi une coronarographie a la suite d’une douleur angineuse, avec une revascularisation ( angioplastie plus stent actif ). L’examen s’est très bien déroulé, sans complication, encadré par deux scéances de dialyse, une de quatre heure le jour d’avant et une courte de deux heures apres l’examen.
ECG non contributif, echo d’effort qui a permis a l’opérateur de douter et de réaliser le geste avec raison, dans quelques mois c’était l’infarctus … c’est quelque chose de très courant mais chez le dialysé coronarien en puissance des techniques d’imagerie de routine plus spécifiques devrait etre utilisée, comme vous dites angio-irm principalement.
cordialement,
erwan
Bonjour,
Pour prendre un exemple celui de mon frère qui est décédé depuis peu de temps :
Il avait près de 40 ans de dialyse et souffrait de calcifications importantes (cœur, valves…) et son néphrologue souhaitait pourtant faire effectuer chez lui une coronarographie mais son médecin traitant l’a bien mis en garde : “Ils veulent vous tuer !”
Donc prudence.
Le danger de la coronarohraphie pour les personnes en insuffisance rénale c’est le produit de contraste iodé. C’est déconseillé car ça peut aggraver une IRC.. M’enfin, quand on est dialysé, l’état des reins on s’en fiche un peu….. Surtout après 40 ans de dialyse ou on vraisemblablement anurique.
Votre médecin traitant est nul et n’y connais rien en IRC ou en dialyse.
Bonjour a tous,
Je relance ce post a toute fin utile, echographie d’effort a 6 mois du geste pour dépister une éventuelle restenose au niveau du site du déploiement du stent actif, connu pour etre plus fréquent chez l’insuffisant rénal, résultat négatif, pas de restenose.
Si jamais d’autres personnes sont concernées …
amicalement
erwan
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