Bonjour ,il serait bon de tenir informé le centre de greffe de son état. Surtout ses gonflements, sa difficulté à respirer, sa non prise d une partie de ses antirejets pendant une semaine….si cela n à pas déjà été fait. Mais vu votre description cela m étonné que le centre n est pas réagit plus que ça, surtout à deux mois de greffe. A moins qu il y ai des manques dans votre récit.
Si son état se dégradé plus , il ne faut pas hésiter à aller aux urgences. Ce que vous écrivez peut ressembler à un oap , c à dire de l’eau qui stagne dans les poumons faute d être éliminé par voie urinaire.
Pour l infirmière qui a zappee le traitement, j espère qu elle vous a présenté ses plus plates excuses. Les antirejets sont importants et ce n est pas pour rien qu ils faut les prendre et de manière régulière…surtout aussi tôt dans la greffe. Maintenant c est aussi au patient de se gérer ou ses proches . Cet organe appartenait à une personne , qui en a fait don et surtout qui est inestimable. La moindre des choses est d en etre conscient et d y prendre soin .
Bon courage

Bonjour,

Je viens de prendre connaissance de votre message, au vu des symptômes qu’à votre maman, il serait préférable de contacter son centre de greffe pour les informer de tous ses problèmes, d’un manque durant 1 semaine d’un de ces immunosuppresseurs en raison d’un oubli de son IDE qui lui prépare ses traitements.
Il est sans doute nécessaire de lui faire un bilan pour comprendre ce qu’il se passe : équilibrer son diabète, sa tension, vérifier qu’elle urine suffisamment, vérifier qu’elle n’ait pas un soucis au niveau de ces poumons (ce n’est pas forcément un oap).
Essayer de parler avec l’infirmière pour qu’elle ne comette plus d’oubli en cochant par exemple sur une liste au fur et à mesure ce qu’elle à rempli dans le pilulier.
Étant donné que votre maman ne peut pas gérer ses traitements, c’est à son IDE de prendre me relais, et il n’y a nom besoin de “gronder” un patient en répondant ce que la personne a répondu juste au dessus.
Certes en règle générale, le patient doit participer à des soins, mais parfois c’est difficile et nul besoin de blâmer encore plus une personne qui est en souffrance.

Contactez son centre de greffe pour qu’elle soit prise en soins le plus tôt possible 😇
Nathalie, bénévole pour Renaloo.

Ça n’engage que moi mais le don inestimable c’est celui du donneur vivant. Donner ou prendre quand on est mort ne coûte rien à personne car ce rein finirait dégusté par les asticots dans la tombe. Je trouve plutôt lamentable de refuser de donner après sa mort, alors que la pénurie est forte et qu’on pourrait sauver certaines personne en urgence.