“A l’encontre de ce que pourraient penser d’aucuns quidams mal renseignés, un contestataire est un homme en colère qui conteste et non un idiot en fureur qui fait son testament.”
(Pierre Dac)
😛

“Il y a des gens auxquels on ne rend jamais hommage et pour lesquels on ne fait aucun effort : ce sont les bien-portants, les gens qui vont bien, qui ne demandent jamais rien à personne, qui ne coûtent pas un sou à la sécurité sociale, tout en continuant à cotiser, comme les autres ; les bien-portants, qui ne font appel ni à la pitié, ni à la charité, ni aux bons sentiments, qui ne sont une charge ni pour leur famille, ni pour la société ; les bien-portants, qui ne se sont jamais porté pâles, qui ne sont jamais en congé de maladie et toujours bons pour le service armé, jamais immobilisés, toujours mobilisables ! Les bien-portants ont, eux aussi, des droits sur nous : notamment celui d’avoir leurs quêtes, leurs oeuvres, leurs journées nationales !
Je réclame aux pouvoirs publics, pour tous ceux qui n’ont jamais demandé d’argent aux assurances sociales, une prime de bonne santé ! De même que les autres assurances donnent un bonus à leurs clients qui n’ont pas d’accident, c’est logique, non ?
Alors, mes amis tous, la main à la poche, pour la journée nationale des bien-portants !”
(Francis BLANCHE) 😆

« Et si vous n’avez rien à dire, ce n’est pas la peine de le faire savoir à tout le monde ! »
(Francis Blanche)

😉

Spéciale Chapichapo…

“La seule façon d’être suivi, c’est de courir plus vite que les autres”.
(F. PICABIA)
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“J’y ai été moi une fois, en garde à vue. Tu parles, les flics me regardaient même pas !”
(Brèves de comptoir)

– Tu sais ce qu’il fait avec son baladeur ?
– ? ?
– Il reste assis ! !
(Brèves de comptoir)

Jean Paul Lacroix raconte qu’à une audience d’un tribunal, un expert aurait ainsi exposé le cas de l’accusé : “C’est un dipsomane, atteint d’oenophilie aigüe, qui était au moment des faits en état d’hyperesthésie ébrieuse…” et que le président lui aurait coupé la parole en ces termes : “Je traduis pour mesdames et messieurs les jurés : l’accusé est un poivrot chronique et, ce jour là, il en tenait une sévère !”