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, le il y a 5 années et 4 mois.
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Sujet
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Dans le cadre de sa rubrique “Vivre avec…”, qui vise à ouvrir ses colonnes aux patients, la Revue du Praticien a choisi d’aborder un sujet sensible : l’accès à la greffe des patients âgés.
Le témoignage de Lydia, 72 ans, est particul…
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Réponses
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Très bien, ça change des reportages où on ne voit que des pin ups de 25 ans se faire greffer….
Mais tu as lu ?
Cet article démontre des dysfonctionnements majeurs dans la greffe des patients un peu plus âgés.
Il prend surtout un exemple ou une patiente n’a pas pu être greffée car l’égo surdimensionné d’un néphrologue a été froissé car la patiente a osé prendre un RDV dans un centre de transplantation sans l’avoir consulté.
Pire, cette patiente, pour ne pas subir de représailles en dialyse a dû faire amende honorable auprès du centre de transplantation en disant que finalement elle avait changé d’avis.Les pertes de chances occasionnées sont absolument terribles vu que cette patiente ne peut plus être greffée désormais.
Autrement dit, et ce n’est pas que pour les greffes de personnes un peu plus âgées, certains néphrologues s’octroient le droit de vie et de mort sur des patients rendus vulnérables par la maladie en toute impunité sans s’informer sur les recommandations ou pire, en les ignorant sciemment.
Bien sûr que je l’ai lu, je te remercie…. 😉
Le fait que certains nephros ne soient pas vraiment humbles, ben c’est pareil que dans n’importe quelle profession, sauf que , bien sûr, dans celle-là, c’est plus grave.
Bien s’informer sur sa maladie, les traitements, etc… reste primordial à mon avis.
Tout le monde n’en a pas les capacités, mais peut-être avec les aidants, les proches,…..si la société n’était plus devenue si individualiste…. 🙁Après, changer de nephro est aussi une solution possible (selon les endroits, évidemment).
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