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, le il y a 15 années et 5 mois.
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Sujet
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Une patiente âgée de 67 ans a été évacuée d’urgence par hélicoptère vers le centre hospitalier du Kremlin-Bicêtre, dans le Val-de-Marne, après qu’un chirurgien de la clinique Saint-François de Mainvilliers (Eure-et-Loir), lui a prélevé par erreur, durant l’opération, le rein qu’elle avait reçu en greffe en 2003, après dix ans de dialyse.
Véronique Besse, la directrice de la clinique a précisé que “le médecin aurait confondu le rein sain et fonctionnel et la tumeur qui devait faire l’objet d’une résection”.
Selon Véronique Besse, le chirurgien “a reconnu son erreur”.
La famille de la patiente a annoncé son intention de porter plainte contre la clinique.
Y a quand même des toubibs qui font n’importe quoi…
Mais ça montre aussi, à mon avis, l’insuffisance des connaissance de médecins en néphrologie ! Il y en qui ne savent même pas en quoi consiste la dialyse….
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Réponses
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La chambre civile de la cour d’appel de ***** a condamné, mercredi, le chirurgien qui avait enlevé par erreur un rein sain au lieu du rein malade à un bébé, à verser 200.000 euros de provision à ses parents.
Rappel des faits : En juillet 2004, le petit Mathéo, tout juste âgé de 9 mois, doit subir une ablation d’un rein nécrosé ne fonctionnant plus qu’à 10%. Par inadvertance, le médecin de la Polyclinique ******* se trompe et lui enlève son rein sain. Une erreur impardonnable pour les parents qui décide de porter les faits devant la Justice.
Condamné en novembre à verser 247.000 euros de provision aux parents par le tribunal de grande instance, le chirurgien fait appel de la décision, réclamant une nouvelle expertise.
A l’époque du jugement, la famille de Mathéo ne perçoit donc aucune aide financière. Or, la maman du petit garçon a été contrainte de quitter son emploi pour s’occuper en permanence de son fils, dialysé quotidiennement. Aujourd’hui encore, elle n’a pas repris le travail afin de veiller sur lui.
Même si les dommages à verser ont été réduits en appel, cette décision est un réel soulagement pour les parents. “Nous sommes satisfaits du jugement même si nous allons poursuivre les démarches pour défendre les intérêts de Mathéo”, a indiqué le père du petit garçon
Dans ses attendus, la cour d’appel a expliqué la réduction de la provision “du fait que l’état de santé de l’enfant était susceptible de s’améliorer suite à la greffe dont il a bénéficié le 13 décembre 2006”.
Si il y a des médecins qui ne savent pas ce que c’est que la dialyse, j’ai écrit un llivre sur la maladie de mon fils, tout y est jusqu’à sa greffe, ce livre peut faire référence, quoique assez intimiste. Vous trouverez ci-joint le lien pour accéder à la vente.
Merci pour ce que vous ferez, avec les ventes j’ai l’intention de faire une donation à une association normande qui s’occupe du maintien des personnes dialysées chez elles
http://www.lulu.com/content/livre-%c3%a … ls/6154746Une association qui s’occupe du maintien des personnes dialysées chez elles? Elles sont censées aller vivre où, si ce n’est chez elles?
Ce qui est sidérant dans ces histoires d’énormes erreurs médicales, c’est l’incapacité totale à reconnaître et à assumer leurs torts dont font preuve leurs auteurs. La fille de la greffée a expliqué à la télévision tous les efforts qu’avait fait le chirurgien pendant une heure pour tenter de les convaincre qu’enlever ce rein en parfait état n’était pas une erreur!
Certains soignants se sont sclérosés au point d’être totalement incapables de penser que quelqu’un d’autre que le malade puisse être un jour mis en cause, quoi qu’il fasse.
En meme temps, on est pas medecins, nous n’avons qu’un son de cloche (les medias)…
Si ca se trouve le rein greffe etait metastase? Pourquoi la tumenr n’a t’elle au final pas ete enleve?
Pkoi ce transfert au KB en urgence?La clinique a reconnu son erreur donc à priori le médecin a bien fait une boulette.
J’ai suffisamment fréquenté le milieu médical pour savoir que s’ils reconnaissent une erreur c’est que vraiment elle était évidente et qu’ils ne pouvaient pas faire autrement.
A l’époque, dialyser un enfant à Caen , ville où nous vivons, c’était une chose difficilement réalisable sans entrer dans des frais considérables mais pour son enfant on ferait tout !
l’ANiDER prend tout en charge ce qui permet aux parents d’être un peu plus relaxes. Elle prête une machine, ce qui évite de dialyser à la poche toutes les heures, elle apporte les solutés ce qui évite d’aller les chercher en pharmacie….
Si nous ne l’avions pas eu je ne sais pas comment nous aurions fait, mon fils aurait été obligé d’être hémodialysé en milieu hospitalier avec tous les risques que ça comporte ( infections nosocomiales…) au lieu d’être dialyser pendant son sommeil, donc un maintien à domicile…
Voilà pourquoi j’attache une importance à l’ANIDERJe comprend, mais il est inutile de faire pour autant de la pub sur de multiples posts….
Je pense que tout le monde a lu votre post 😉Oui, la directrice de la clinique a reconnu l’erreur et suspendu le médecin. Le greffon était bien intact et en parfait état de marche. Il n’aurait jamais dû être enlevé.
Mais il est vrai que les informations ont été particulièrement floues dans la presse. Car les journalistes ont d’abord affirmé que cette femme passait sur le billard pour une “banale descente d’organes”, puis il a semblé qu’il y avait quand même quelque chose de cancéreux dans son abdomen.
De toutes façons ça n’excuse rien. Le chirurgien aurait pu lire le dossier, ça lui aurait permis de savoir que cette patiente était greffée. Et s’il ne sait pas où on place les greffons, alors qu’il est chirurgien, il ne lui reste plus qu’à se recycler dans la découpe de poulets en batterie.
PS: Selon les news de Yahoo aujourd’hui, en fait, cette pauvre femme était venue se faire opérer d’une hernie!!!! Confondre une hernie et un greffon, il faut le faire! Si ce médecin n’est pas interdit d’exercer à vie, il n’y a aucune justice. Et il serait bon de chercher dans le passé tous les dégâts qu’il y a peut-être déjà eu, dans le silence.
J’ai suivi ces 2 affaires et je suis scandalisée par ce que peuvent encore exécuter les médecins aujourd’hui !
Quand à la justice, il n’y en aura pas, mis à part les compensations financières qui sont bien sûr importantes pour le futur de la VICTIME, l’essentiel n’est pas là : il faudrait leur interdire à vie d’exercer “leurs talents”. Malheureusement, les interdictions même provisoires sont très rares et le plus souvent il s’agit d’actes frauduleux et pas de ratage médical ! Dans le cas de Matéo, le chir (de source sûre) exerce tjrs !
Bon courage à ses futurs patients !
Je suis aussi très surprise de la réaction de certains qui prennent systématiquement la défense du corps médical : taupe infiltrée ?
Les médecins savent tout et les malades rien : mais au bout de longues années de combat thérapeutique, on commence à en connaître un rayon et on voit tout les jours et en particulier dans ce sujet comme ils savent tout les docs !!!Les inconditionnels du corps médical s’imaginent qu’en fayotant à mort avec lui et en le suivant en aveugle docile, ils seront mieux soignés. C’est une erreur tragique, dont ils ont déjà eu de nombreuses illustrations, mais ils persistent!
Je suis persuadée au contraire qu’il nous faut tout connaître de nos maladies et de leurs traitements. Lorsqu’une erreur s’annonce, ne faisons pas mine de ne pas la voir, disons-le franchement au médecin. Et là, 2 solutions:
– soit ce médecin est humain et intelligent, il écoute nos arguments, accepte le dialogue, reconnaît son erreur, ou prend le temps de nous convaincre que c’est lui qui a raison, et il a droit désormais à notre respect et à notre confiance.
– soit c’est un abruti bouffi d’orgueil, qui s’accroche farouchement à son erreur, et tente de nous l’imposer sans aucun dialogue et par tous les moyens, parce que, pour lui, un patient c’est un bout de viande qui doit la fermer quoi qu’il arrive, et là, il faut fuir à toutes jambes. Il n’y a rien à en espérer.
Le coup de l’erreur, c’est un excellent test pour découvrir le vrai visage et la fiabilité d’un médecin.
C’est que j’aodre avec toi Nastia, c’est qu’avec toi il n’y a pas de demi mesure !!!
Personnellement avant de traiter um medecin de “d’abrouti bouffi d’orgueil” j’essayerai de discuter avec lui, je prenderai d’autres avis. En tant que patient averti on maitrise un peu notre maladie et c’est qui tourne autour mais on est loin de maitriser tous les aspects de la nephrologie.
quelle honte,
il va certainement parler d’aléas thérapeutique, et non d’erreur médical , enfin ils disent erreurs devant les caméras faudra voir au procès dans 5 ou 10 ans,
elle en dyalise et une vie modifier avec les concquences morales qu’ils ne se gêneront pas de dire que c’était déjà avant et rien à voir etc etc,
et le toubib ??? toujours le droit de charcuter ??????
c’est une honte, je suis pour la loi du tallion,
mon frère , ils n’ont pas retrouvé dans le rapport d’opération qu’ils ont réparé par pontage un anévrisme découvert sur place alors qu’il y avait eu scannar, échographie, scibtigraphie , irm,
quelle honte 🙁
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