Tout cela est derrière la plupart d’entre nous, mais risque fort d’être aussi devant, hélas.
Heureusement, tous ne sont pas comme ça. L’urologue qui m’a fait la fistule est quelqu’un de bien, par exemple. Très humain, courtois, disponible et accessible, et avec une grande conscience et compétence professionnelle.
Ce qui est clair, c’est que les chirurgiennes, et les chirurgiens hommes avec des idéaux et des principes moraux, doivent avoir la vie dure pendant leurs études et au travail, lorsqu’ils sont obligés de subir en permanence les débordements obscènes et la fumisterie lamentable de certains de leurs collègues, puis de rattraper tant bien que mal leurs multiples erreurs.