- Ce sujet contient 5 réponses, 4 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
, le il y a 3 années et 11 mois.
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Sujet
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BONJOUR
Je suis transplantée rénale depuis 2008 donc plus de 12 ans et j’ai été opérée en Novembre d’un adénocarcinome pulmonaire.
Je devais reprendre mon activité professionnelle en Mars 2020 mais à cause du Covid je suis en arrêt de travail et cela jusque début septembre.
Vues les circonstances actuelles je m’interroge sur la possibilité de ma reprise…devrais je rester en arrêt de travail ou avoir un certificat d’isolement?
Je vous remercie de votre réponse.
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Réponses
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Bjr Anagama
a toi de voir sur ce que tu perdra le moins , avec soit l arrêt de travail ou le certificat d isolement payer a 84 % mais pas de cotisation retraite ect
le certificat d isolement a une date de debut mais pas de date de fin , actuellement le décret ce termine au 31.12.2020 mais a ce jour il est possible qui revote pour le finir au 31.08.2020 oui dir au ministere du travail mais vu tous les rebonds du virus et ceux qui reparte chez eux car la médecine du travail ne veut pas prendre de risque .
reste chez toi avec toutes ces fragilités
échange avec le corps médicale .Bon Courage
thierry de bordeaux
merci beaucoup pour ta réponse..je ne savis pas pour les cotisations retraite…en effet l’arrêt de travail c’est plus sur!!
Bonjour a tous
je suis toujours en télétravail avec une reprise en présentiel prévu en septembre par mes nephro décidé avant cette été car ils attendais les rebonds , a ce jour on vois quand même que le nombre de cas et plus important que le jour ou j ai était mis en confinement TOTAL .
cependant suivant le corps médical , leurs avis sont quand même différent plus de réponse positive a reprendre le travail ???ils ont changés leur fusils d ‘épaule ?? ont il étaient influencé pour sauvé l économie ???quoi penser ???
attendez vous encore pour certain pour cette reprise ???
combien d entre vous sont revenu chez eux après avoir repris ???
le médecin du travail ne répond pas a mais mails ????
d avance merci a tous de vos réponses et conseils
Thierry de Bordeaux
Bonjour,
Personnellement, j’ai repris le travail en présentiel lors du déconfinement et ce, jusqu’à présent ; il s’agissait de ma propre décision (et j’en assume encore la responsabilité – à noter que des mesures de sécurité drastiques ont été mises en place au sein mon entreprise). Je travaille dans un bureau et ai peu de contact avec le public, notamment en raison de cette crise sanitaire. Je ne suis cependant pas à l’abri de m’y retrouver (en contact avec le public) si certains membres du personnel venaient à manquer…
J’ai consulté mon néphrologue le mois dernier, lui expliquant cela. Il n’a montré aucune opposition, ne s’étant pas attardé sur le sujet, comme si ça n’avait pas grande importance. Je dois reconnaître que j’ai trouvé étrange…
Pareillement, j’ai consulté la médecine du travail (à la demande de ma direction). Là non plus, aucune opposition.
Encore une fois, j’ai repris en présentiel de mon plein gré, cela ayant peut-être “influencé” le corps médical à ne pas s’opposer à ma décision.
Maintenant,j’attends toute de même de voir l’évolution de la situation dans les mois à venir… si le risque est trop important, sans doute devrais-je revenir au télétravail.
Bon courage à tous, dans ces conditions particulièrement difficiles.De même, j’ai suivi le sort de la population ordinaire, télétravaillant durant le confinement, et reprenant en présentiel ensuite. Je me suis dit que rien ne me protégerait en m’isolant, ma conjointe qui travaille à l’hôpital ayant eu le covid durant le confinement, ma banlieue etant aussi très touchée, et les gens n’y respectant pas le confinement et les masques, un vrai isolement nécessiterait que je quitte la ville. Je prends des lignes de transport surchargées, et j’espère que mon système immunitaire me protégera. Derrière le confinement, il y a la tentation du repli, les gens ne supportent plus les transports, le recul de l’âge de la retraite est en fait difficile à gérer, il n’y a plus de recherche de relations sociales au travail, et le repli du confinement est vécu comme un ballon d’oxygène provisoire. Les jeunes ont connu une mise en retrait, une suspension de la vie pendant 6 mois, ce qui est une très grosse perte, à une époque de leur vie qui devrait être dense et riche.
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