TRANSPLANT BLUES

Accueil Forums La vie autrement … TRANSPLANT BLUES

  • Créateur
    Sujet
  • #12491
    bd91
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 594Message(s)

    Après la relation de mes aventures désopilantes narrées dans DIALYSE SONG, et à la demande générale (!), je réitère en vous faisant partager mon expérience de transplanté rénal, dans le même ton que le précédent.
    Bonne lecture… et comme toujours, n’hésitez pas à me faire part de vos commentaires !

    ================================================

    Chapitre 1 : Paul Brousse

    Le porche est imposant, à l’ancienne, et débouche sur un parterre fleuri encadré de constructions en meulière. Un grand panneau indicateur montre le plan de l’hôpital, avec ses bâtiments disséminés à l’intérieur de cet îlot presque incongru dans ce quartier animé.

    Tellement fréquenté, d’ailleurs, qu’il ne m’a pas été facile de me garer… en plus, à perpète !

    Je consulte le papier de ma convocation pour relire le nom du bâtiment et du service où je dois me rendre : Néphrologie… un nom encore bien plein de mystères mais dont je comprendrais bientôt toute la signification.

    Crevons tout de suite l’abcès pour les néophytes ! La néphrologie est la spécialité médicale visant à prévenir, diagnostiquer et soigner les maladies des reins. Elle est différente de l’urologie, spécialité chirurgicale s’intéressant à l’appareil génital masculin et à l’ensemble du système urinaire (reins, uretères, vessie, prostate, urètre).

    Le mot néphrologie vient des mots grecs nephros (rein) et logos (étude).

    Et me voilà parti à la recherche de mon point de chute dans le dédale de cet ensemble hospitalier.

    Situé sur le plateau de Villejuif dans le département du Val de Marne à 3 km au sud de Paris, l’hôpital Paul Brousse construit en 1913 porte à titre d’hommage public le nom du Conseiller Général à la fois médecin et homme politique qui avait oeuvré pour sa réalisation. Il est rattaché à l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris depuis 1962.

    Les différents services sont repérés sur le plan que j’ai récupéré à l’accueil par des noms de secteurs, différenciés par couleurs. Les bâtiments sont de toutes les formes et de styles différents… on progresse soit en les contournant, soit en les traversant par des couloirs et des cours intérieures. De quoi se paumer… pas évident ! Et des voitures… stationnées un peu partout, à la sauvage (comment ont-elles eu la permission de rentrer ?), et des ambulances déversant ou emportant leurs lots de brancards et de malades.

    Depuis que j’ai passé l’entrée principale, j’ai l’impression d’avoir pénétré dans un monde à part, hors du temps et de la vie courante. Cette impression n’est pas prête de me quitter pour les vingt ans à venir ! Voyage dans la quatrième dimension de la médecine.

    Je n’ai pas fini de fréquenter les hôpitaux, cliniques, laboratoires, cabinets… d’arpenter des couloirs, de cavaler de service en service, de poireauter dans des salles d’attente, de rencontrer des blouses blanches, de coucher dans des lits plus ou moins articulés, de me faire piquer, cathétériser, ponctionner, perfuser, intuber, entuber, radiographier, palper, charcuter, agrafer, panser, recoudre… et j’en passe !

    Mais, qu’est-ce qui m’a amené là, en ce jour de printemps de l’an de grâce 1987 ? Quel a été l’élément déclencheur de ce passage dans cette nouvelle vie ?

    Il me faut remonter à quelques semaines en arrière, sur les lieux de mon activité professionnelle, lors du contrôle annuel de la médecine du travail.

    Je ne vais sûrement pas me faire des amis, mais, les médecins du travail que j’ai connu, il faut dire que ce n’étaient pas tous des lumières ! Entendons-nous bien, je ne généralise pas… je n’ai certainement pas du avoir beaucoup de chance en ce qui concerne la plupart de ceux et de celles que j’ai fréquenté !

    Un exemple parmi tant d’autre. Bien des années auparavant, dans un autre lieu, je patientais, dans la salle d’attente, avant mon passage dans le cabinet de la doctoresse de la médecine du travail, quand deux ouvriers, qui faisaient des travaux de maintenance sur le site, arrivèrent précipitamment… l’un soutenant l’autre qui maintenait un chiffon autour de sa main gauche d’où s’égouttait un flot de sang laissant une trace derrière eux.
    Leur entrée, peu discrète, et les exclamations des deux hommes firent sortir la toubib de son bureau. Au premier coup d’œil qu’elle porta sur le tableau, je l’ai vue franchement blêmir ! En portant ses mains à sa bouche, elle s’écria : « Mon dieu, ce que vous devez souffrir ! Et tout ce sang ! Vite… vite… amenez-le à la clinique d’à côté ! »

    Voilà… sans commentaire.

    Je reviens à ma visite. Eh bien, pour me faire démentir (je n’ai rien de personnel contre cette honorable profession), mon médecin de ce jour était sans doute plus « qualifié » que ceux que j’avais connus auparavant. En effet, c’est lui qui fut l’élément déclencheur de mon parcours néphrologique du reste de mon existence !

15 réponses de 31 à 45 (sur un total de 46)
  • Auteur
    Réponses
  • #16276
    bd91
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 594Message(s)

    Chapitre 27 : Rasage… à sec !

    Mon fameux infirmier de garde de nuit… deux mots quand même sur ce personnage que j’allais fréquenter pendant plusieurs semaines ! Un physique assez inhabituel dans ce genre de métier (par rapport à tous ceux que j’ai pu côtoyer dans mon parcours hospitalier), à savoir : pas très grand mais plutôt râblé, bien costaud dans le genre boxeur ou rugbyman, le torse et les bras passablement velus. En résumé, plus King Kong que Tom Cruise, mais éminemment compétent et sympathique ! Comme quoi, il ne faut pas se fier aux apparences !

    Pour en revenir au « rasage » obligatoire avant l’intervention, il est évident que je n’avais pas eu le temps de me livrer à cette opération avant de venir… Depuis ma pénible expérience de « boucherie » exécutée pour ma fistule, je me méfiais un tantinet de ces « raseuses » pas toujours très délicates… pour les autres passages sur le billard qui allaient suivre le présent, je prendrai donc la précaution de me dépoiler moi-même à la veille de chacune d’entre elles !
    Pour la transplantation, je me doutais bien qu’il allait falloir y passer presque de la tête aux pieds ! C’était autre chose qu’un bras ! Qui, allait donc officier et dans quelles conditions ? Serait-ce mon camarade balèze – un moindre mal pour ma pudeur – ou une spécialiste du rasoir sans doute bien blasée par ce genre d’exercice ? La réponse ne se fit pas attendre…

    L’infirmier m’apporta un flacon de bétadine et deux rasoirs jetables, avec, comme instructions d’aller prendre une douche en usant généreusement du désinfectant, et de me raser du torse jusqu’à mi-cuisses, en n’oubliant aucun coin, bien entendu ! Finalement, on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même ! Par contre, je peux vous certifier que le rasage à sec (pas de savon ni de mousse à raser du style que la lame glisse toute seule sur la peau !) debout dans une douche, sans miroir et avec des rasoirs des plus basiques (pas de ceux où la première lame soulève le poil, la deuxième le coupe et la troisième lui fait une petite caresse !) ce n’est vraiment pas de la tarte ! La bétadine a aussi servi, dans ces circonstances, à désinfecter les coupures ! Bref, tous ceux qui sont déjà passés par cette périlleuse expérience me comprendront !

    Mon camarade vint inspecter le résultat dès mon retour dans ma chambre et jugea que le travail avait été correctement réalisé. Il me précisa que je devrais prendre une nouvelle douche/Bétadine le lendemain matin, juste avant d’enfiler la fameuse blouse en papier réglementaire… vous savez, de celle qui ne ferme qu’à moitié dans le dos et qui vous laisse généreusement les fesses à l’air ! L’hôpital, un monde cruel et sans pitié où vous perdez toute identité et civilité !

    Puis il me tendit un imprimé en me précisant qu’il s’agissait d’un nouveau protocole expérimental qui me serait appliqué, si j’en étais d’accord. Après une rapide lecture qui ne m’apprit pas grand-chose de plus sur les modalités de ce traitement, et sans me poser trop de questions, je le signais. Certains trouveront sans doute cette attitude un peu légère, mais… dans l’euphorie du moment, j’étais prêt à accepter beaucoup de choses, me remettant entre les mains des spécialistes. Si j’avais pus alors savoir les conséquences de ce que cette décision allait entraîner, je me serais certainement abstenu ! Nous y reviendrons plus tard !

    Me voici seul désormais au seuil d’une longue nuit où j’aurai bien du mal à fermer l’œil. La perspective de ce qui devait arriver le lendemain, les craintes, les incertitudes mais aussi une certaine excitation à l’approche de ce changement radical de ma vie… comment faire le vide et s’endormir. Moi qui par nature avais souvent des périodes d’insomnies à la moindre contrariété ou d’activité professionnelle un peu intense, il ne fallait pas s’illusionner face à une pareille aventure !
    Et puis même si j’avais, par miracle, pu commencer à m’assoupir, le passage régulier des collègues de garde de mon infirmier, entrant dans la chambre sans ménagement et allumant d’autorité la lumière pour me contrôler tension et température, m’en aurait totalement dissuadé ! Les nuits sont tout sauf calmes dans les services hospitaliers… de bons moments étaient en préparation, à ce sujet !

    #16378
    bd91
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 594Message(s)

    Chapitre 28 : En route pour le bloc…

    Avant de faire le grand saut, puisque cette étape est l’une des plus importantes de mon existence d’insuffisant rénal, je me dois de faire une petite pause… le temps d’essayer de rassembler le maximum de souvenirs avec le plus de détails possibles. Pas facile ! Le retour sur ce passé n’est pas une mince affaire ; cela fait tout de même 18 ans ! Le déroulement exact des événements, les horaires, le nom de tous les médicaments que j’ai pu ingurgiter, les résultats d’analyse… tout cela a du mal à remonter à la surface. Il ne me reste plus que des bribes de temps forts et marquants… beaucoup de pièces manquantes au puzzle, des oublis, de vagues sensations. Je n’ai pas pensé à l’époque à prendre des notes, comme certains, au jour le jour. Je n’imaginais pas alors avoir l’idée, ô combien saugrenue, d’écrire aujourd’hui le déroulement de mes aventures !
    Le récit risque donc d’avoir des trous, des omissions, des imprécisions. Je vais donc malgré tout essayer de faire au mieux !

    La perte de mémoire majeure concerne essentiellement les quelques heures qui ont précédé ma greffe, ainsi que celles qui l’ont suivie, en salle de réveil principalement. Sans doute l’un des effets secondaires de l’anesthésie ? Il est vrai que ce moment d’absence équivalent à une petite mort, puisque l’on ne maîtrise plus rien, réserve parfois des surprises bien singulières. L’un de mes néphrologues ayant assisté à mon opération m’avouera, bien des années plus tard, que j’avais eu, lors de ces moments d’inconscience, des comportements et des paroles peu en rapport avec les bonnes mœurs ! Malgré mon insistance, celui-ci n’a pas voulu me donner de détails sur la teneur de mes verts propos… Cette réaction de désinhibitions due aux produits anesthésiants est, parait-il assez courante !

    Vendredi 1er juin 1990. Une date plutôt facile à se rappeler !
    Au petit matin, au sortir de cette nuit de quasi insomnie… pas besoin de me secouer et de me réveiller en fanfare… cela fait un bon moment que je vis, à l’oreille, l’agitation causée par le changement d’équipe de nuit pour celle de jour ! Exit mon infirmier et bonjour les nouvelles têtes !
    Le rituel qui va être désormais mon lot quotidien commence par les prises de tension, de température, puis de sang. Par contre, pas de petit déjeuner ce matin, et pour cause ! A la place, une nouvelle ballade jusqu’à la douche pour un dernier badigeon complet de bétadine ! Retour à la chambre dans la chemise bien aérée et voilà que commence un long moment d’attente, car, bien entendu, silence radio sur mon heure de passage au bloc, comme il est souvent d’usage dans le milieu hospitalier ! Le slogan pouvant définir au mieux le manque d’informations dans cet univers kafkaïen est, sans conteste, celui de : « On vous cache tout, on ne vous dit rien ! »

    Je ne vais pas vous raconter d’histoire, je ne me souviens plus de l’heure de mon départ pour les sous-sol… sans doute en milieu de matinée. Les blocs opératoires étaient, en effet, accessibles après un véritable jeu de piste, descente aux enfers par des montes-charges brinquebalants, des couloirs interminables, des portes tous les dix mètres, le tout piloté par un brancardier kamikaze qui semblait n’avoir pas conscience de balader un être humain mais avant tout un lit !

    Nous voici arrivés dans un dernier couloir, sans doute près des blocs, où je suis laissé en attente, comme un paquet de linge sale. Des gens en tenue de chirurgien, hommes et femmes, coiffés, masqués, circulent de temps à autre, sans me prêter la moindre attention… suis-je transparent ? Quelqu’un va bien finir par s’apercevoir que je suis là, que j’existe… J’attends donc, ça, je sais déjà faire ! Bien entendu, j’ai perdu toute notion du temps qui passe. Le petit cachet calmant que l’on m’a donné avant de partir doit commencer à me brouiller l’attention… après tout, c’est sûrement fait pour ça !

    Tiens, un homme au visage camouflé daigne enfin m’adresser la parole ! Il se présente comme étant l’anesthésiste qui va officier lors de la transplantation et s’inquiète de mes états d’âme. Je lui réponds : – Bonjour, enchanté, oui tout va bien, je suis décontracté, merci !
    Il m’explique alors qu’il va me poser un cathé dans le bras… les piqûres, même pas mal, de ce côté-là, j’ai une certaine habitude !
    Aussitôt dit… et me voilà ensuite propulsé dans le lieu de mon supplice où règne déjà une certaine agitation… Ma première pensée sera : – Merde ! Qu’est-ce qu’on se les gèle là dedans !

    #16579
    bd91
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 594Message(s)

    Chapitre 29 : Dodo… et réveil !

    Ca grouille dans la salle d’op’… j’ai un peu de mal à faire la distinction entre les hommes et les femmes avec leurs tenues qui ne concèdent pas grand-chose de leurs formes ! Heureusement, on arrive à les repérer à la voix. Tout ce beau petit monde, oui, c’est bien pour moi ! Et encore, les feux de la rampe ne sont pas encore allumés au-dessus de la vedette ! De temps en temps, au milieu de ce remue-ménage et d’installations de matériels, j’ai droit à quelques paroles des unes ou des autres lorsqu’ils s’agitent auprès de ma personne. Une bonne âme m’a enveloppé dans une couverture chauffante, c’est plutôt sympa comme attention !
    Inutile de dire que je ne sais pas quel est le chirurgien qui va officier… je ne le saurai ni verrai d’ailleurs jamais ! Etrange pour une intervention de cette importance !

    Je me suis transbahuté de mon lit sur la table où je suis crucifié les bras en croix sur des attelles : pas le même confort ! L’autel du sacrifice, le truc bien dur, bien étroit, une vraie partie de plaisir ! Vivement que je m’endorme pour ne plus avoir le dos en compote ! Quoique, le réveil ne devrait pas être triste au niveau des douleurs !

    Voilà justement l’anesthésiste qui se pointe et m’informe qu’il va m’injecter le cocktail qui va me plonger dans les bras de Morphée ! C’est bizarre, dans les films on voit presque toujours des anesthésies faites avec le fameux masque… pour ma part, je n’ai jamais eu droit, lors de mes multiples passages sur le billard, à l’usage de cet accessoire ?
    Le temps de compter jusqu’à… je n’en sais rien… rideau !

    Là, normalement, je devrais laisser un énorme blanc dans la page, censé représenter le trou où je me suis enfoncé et durant lequel on m’a gentiment charcuté. Je ne vais pas vous raconter comment cela s’est passé, car bien que directement concerné, je n’étais pas vraiment présent. La transplantation sous péridurale, ce n’est pas encore prévu au programme ! Remarquez, cette technique, j’y aurai droit quelques années plus tard pour des hernies… plutôt marrant d’entendre les chirurgiens et infirmières discuter de la pluie et du beau temps pendant qu’ils vous coupent et recousent… ce n’est pas comme dans Urgences ou Grey’s anatomy… les conversations sont plus terre à terre que techniques… Encore un mythe qui s’envole !

    Quand on y pense, l’impression est très étrange de savoir que l’on ne maîtrise alors plus rien durant cette « petite mort ». Notre corps est totalement livré aux bons plaisirs d’une bande d’énergumènes, sans aucune retenue, complexe ou pudeur… Vas-y que je t’ouvre, te découpe, te suture, te bricole… la belle plomberie chirurgicale ! Il ne vaut mieux pas y penser ! Totale confiance… comment faire autrement ?

    L’intervention a duré un certain temps… là encore, aucune information à ce sujet lors de mon retour à la conscience… Je n’ai d’ailleurs qu’un vague souvenir de cette émergence, ramené à la vie par une voix qui me demande de me réveiller, comme à travers un brouillard. J’aperçois un vague visage féminin penché au-dessus de moi… le réveil est assez pénible… je n’ai qu’une seule envie : replonger dans les vapes… foutez-moi la paix encore un peu, il est bien temps de retrouver la dure réalité !

    Je mijote ainsi, entre sommeil et réveil, plutôt vasouillard, avec une perception amoindrie de tous mes sens. Je me laisse flotter… mon organisme n’a pas encore fini de se débarrasser des substances diverses et variées dont on l’a copieusement alimenté. Au loin, des bips et autres sons incongrus de machines, des conversations feutrées, des allez et venues de blouses blanches…

    Au bout d’un certain temps, on doit juger que j’ai suffisamment recouvré mes esprits et on me donne un bon de sortie. Bye, bye la salle de réveil et remontée dans les étages en me laissant bercer !
    J’ai juste le temps d’apercevoir fugacement les visages de mon épouse et de mon fils qui m’accueillent dans le couloir du service et semblent rassurés de mon retour parmi les vivants !
    Un vague sourire façon grimace pour leur signifier que tout va bien, et me voici de nouveau dans ma chambre.

    #16688
    bd91
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 594Message(s)

    Pour la suite… sans doute en un autre lieu (à l’étude) ou l’atmosphère sera, je l’espère, meilleure qu’ici !
    😥

    #16690
    karita_baby
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 214Message(s)

    Ah non pas ça !
    voilà que je suis les episodes depuis peu et je vais louper la fin!!!! 😯 ❗

    #16700
    Flash
    Participant
    • Glomérule junior
    • ★★☆☆
    • 56Message(s)

    Pas cool ! bd91, laisse dire, tu vas priver beaucoup de monde pour quelques excités !!??

    #16706
    hubert35
    Participant
    • Petit rein débutant
    • ★☆☆☆
    • 7Message(s)

    ah non moi aussi je veux la suite ou alors il faudra donner le lien vers le nouveau site. Merci

    #16714
    bd91
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 594Message(s)

    Pour les amateurs de mes écrits (Transplant blues, en cours) qui seraient néanmoins toujours intéressés par la suite de ma saga néphrologique, je suis en train d’étudier la solution de rapatriement de celui-ci sur un autre support (Forum ou Blog ? Il y a certainement bien d’autres lieux où l’on peut écrire ! Si vous avez une solution, je suis preneur !) Je communiquerai prochainement les coordonnées de ce site, par MP où Mail (car je n’ai pas envie de retrouver les malfaisants ailleurs), à ceux qui m’en feront la demande, ainsi que la copie du message explicitant les raisons de mon départ, car j’ai de sérieuses craintes sur la durée de son maintien dans le Forum !
    Daniel Bouzou

    #16742
    bd91
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 594Message(s)

    Reprise « Dialyse song » et « Transplant blues » sur Blog perso à finaliser mais opérationnel.
    Dans l’attente d’une maîtrise totale du système (je débute !), ce Blog reste, pour le moment confidentiel et sera communiqué à ceux qui en feront la demande, soit par MP, soit par émail à daniel.bouzou@club-internet.fr.

    #16787
    bd91
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 594Message(s)

    Finalement c’est bon… le blog est accessible à tous ceux qui veulent bien y faire un tour… en particulier pour la suite de “Transplant blues”, des “Pensées du jour” et autres écrits !
    Rendez-vous sur : http://bouzou.wordpress.com/

    #16910
    karita_baby
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 214Message(s)

    Contente d’avoir retrouvé la suite de mon récit Merci Bouzou en plus ton blog est tres conivial 😉

    #16917
    yago
    Participant
    • Petit rein débutant
    • ★☆☆☆
    • 25Message(s)

    perso Monsieur bd, je trouvais cette chronique d’une insuffisance rénale… à mourrir d’ennui, j’ai eu bien du mal à arriver au bout d’un chapitre.Toutefois elle avait au moins le mérite de donner un peu de contenu à ce forum, en même temps qu’elle satisfaisait votre besoin de vous épancher longuement sur la grande aventure de votre vie qu’est la maladie (as doencas sao as viagens dos pobres comme dirai vroum vroum).
    Aussi je ne comprends pas ce départ si violent dans le quel vous maniez l’insulte gratuite à l’égard des censeurs (ils préfèrent dire modérateur) et de ceux qui n’appréciaient pas votre prose sans avoir autant de talent que vous dans la manipulation du clavier.
    J’avais de l’estime pour vous, pour vos dessins et votre sympathique moustache trés paternelle. Mais je trouve que ce départ manque de classe et c’est dommage. Peut être espériez vous q’on vous retienne…
    Quant au blog, l’inconvénient c’est qu’il vous y manquera les réactions de ceux qui vous lisaient et dont votre égo a tant besoin. Nul doute que vous trouverez un autre site qui sera prêt à accueillir la monotone litanie de votre ordinaire quotidien…
    Bonne chance à vous

    #16919
    jo
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 823Message(s)

    Cher Yago,

    Tout le monde sur ce forum est libre de venir et de partir quand bon lui semble. BD91 est venu et reparti, il en a expliqué les raisons, et même si sa prose n’était pas toujours à votre goût elle avait l’immense mérite d’aérer les idées et de proposer un regard tantôt ironique tantôt triste sur notre maladie ainsi que sur la vie de ce forum.

    Que vous ne regrettiez pas le départ d’un membre est votre droit, par contre l’insulter suite à ce départ est, de mon point de vue, déplorable.

    Quand aux blogs, ils proposent tous de laisser des commentaires sur les articles et celui de bd91 n’y fait pas exception.

    #17527
    bd91
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 594Message(s)
    #18061
    bd91
    Participant
    • Néphropathe confirmé
    • ★★★★
    • 594Message(s)

    Tout arrive… Reprise du feuilleton sur : http://bouzou.wordpress.com/2008/10/19/ … iere-nuit/
    Bonne lecture aux amateurs !
    :mrgreen:

15 réponses de 31 à 45 (sur un total de 46)
  • Le forum ‘La vie autrement …’ est fermé à de nouveaux sujets et réponses.