La “qualité” des greffons rénaux en question…
La séniorisation de la greffe et du prélèvement, la confiance et la communication entre chirurgiens préleveurs et greffeurs sont sûrement essentiels dans l’audace des équipes.
Il est plus facile pour le néphrologue en charge du patient d’accepter un rein « difficile »pour un patient « pas facile » lorsqu’il est sûre de l’expérience et du talent du chirurgien.
Il y a aussi des non-dits : 9 à 15% des refus le sont pour « difficultés logistiques ». Ces refus concernent volontiers ces reins parce qu’on préfère, sans le dire, « la greffe simplex » à une greffe plus à risque !!