Mobilisons-nous pour la Journée Mondiale du Rein 2010 !
Le jeudi 11 mars prochain, c’est la journée mondiale du rein.
Un peu partout dans le monde, des manifestations viendront alerter l’opinion et les pouvoirs publics sur les maladies rénales et leurs conséquences.
En France, c’est à Paris que se tiendra l’événement phare de cette journée : le colloque du cinquantenaire de la Société de néphrologie.
Ouvert à tous, il aura pour thème “Les alternatives à la dialyse en centre : un choix d’avenir ?”.
Un sujet d’actualité, puisque différentes menaces pèsent depuis quelques mois sur la qualité des soins (on peut citer par exemple le plan d’économie de l’Assurance Maladie, le projet d’inclure l’EPO dans les forfaits de dialyse ou le déclin alarmant de l’activité de greffe rénale…).
Le Pr Patrice Deteix, Président de la Société de Néphrologie, a alerté tout récemment les différents acteurs sur l’absolue nécessité que la néphrologie dans “toutes ses dimensions” (et notamment les patients) y soit représentée massivement. Différents représentants des tutelles (DHOS, UNCAM, ARS…) seront présents, et la Ministre de la Santé fera une allocution. Il est important que tous soient les témoins d’une forte mobilisation et qu’ils puissent constater notre capacité de rassemblement autour de notre “cause commune”.
Alors inscrivez-vous, parlez-en autour de vous, venez nombreux !
Toutes les infos sur le site de la Société de Néphrologie
De plus, le même jour, de 9h à 12h30, se tiendra une rencontre-débat avec les associations de malades, à l’initiative de l’INSERM.
Elle se déroulera à l’Académie nationale de médecine, 16, rue Bonaparte à Paris (75006)
Le thème principal, cette année, concerne la néphropathie diabétique.
Cette rencontre a pour but d’expliquer les liens entre le diabète et l’atteinte rénale et d’aborder certains aspects de la néphropathie diabétique notamment l’épidémiologie, la génétique et la prise en charge nutritionnelle. Après chaque présentation ainsi que dans dans le cadre d’une table ronde, les participants pourront échanger directement avec les scientifiques. L’accès est gratuit.
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