pour être complet
il faut savoir que le foi se régénère, le rein non,
dans l’étude faite par cette personnes elle évoque le contexte du donneur et de sa vie après, quel que soit le type de don, et toutes les conséquences qu’il y a après sur le plan physique, morale, familiale professionnel etc,
maintenant que la définition de l4IR soit clairement définit est un fait, peut être que justement, il faudrait revoir cette définition pour le donneur vivant, en effet il ne sera pas prélevé s’il n’a pas des rein optimum, mais quid du changement de vie qu’oblige la vie avec un rein en moins ???
ce qui n’est pas réfuté par les néprhologue, peut être faut il définir un nouveau taux, ou un nouveau mode de calcul pour évaluer l’impact que cette néphrectomie implique,
il y a aussi quelque chose qui est trop souvent omis, bien que très connus par les spécialiste anti douleur, une personne rescapée d’un accident, attentat ou autre incident de la vie tolèrera plus une modification de sa vie car entre une vie modifiée et une vie perdu , la joie de la vie sauvegardée fait avaler plus facilement les désagréments des diffcultés d’une vie nouvelles,
alors qu’une personne saine se faisant opéré dans un contexte aussi passionnel que le don vivant, ne toléra pas l’à peu près, ou l’erreur ou le malentendu ou ce qui a été caché,
ce n’est pas une question de volonté ou d’état d’esprit simplement un fonctionnement chimique du cerveau,
mais ce volet est totalement occulté, c’est un mensonge par omission, mais il est ressorti dans ce rapport sur les conséquences qu’il représente,
est il acceptable qu’un donneur vivant perde son boulot, reste handicapé, ou qu’il perde sa famille voir se suicide, tel que se rapport met en exergue ???
alors dans le cas du foi, il ‘y a pas d’alternative, pas de machine permettant d’attendre un organe de remplacement, pour le rein si, encourager le don cadavérique est la bonne option,
la greffe par don vivant n’a de sens que dans le cas d’une greffe de moelle (celulle souche) a priori, permettant d’affranchir le receveur des médicament anti rejet et de leur désagrément, sinon il en a un peu moins que pour un don étrangé,
mais pas facile de ressortir les vrais chiffres à partir du moment que tout le monde se tait dans son coin, ou se fait fermer le bec des qu’il en parle, comme son enclin a faire les toubib en cherchant des explication ailleurs que dans la nephrectomie, ce n’est plus les mêmes budgets ni les même responsables,
il faut continuer ses études, et ressortir les témoignage de toute part, pourquoi n’y a t il pas des retour sous couvert d’anonymat ? ils en sont arrivé a ça dans l’aviation afin d’étudier des situations qui auraient pu être dramatique, chaque pilote peu évoquer son vécu sous couvert d’anonymat, ça s’appelle le REC pour ceux qui doutes et veulent chercher 😉
si chaque donneur avait un tel document , juste des cases à cocher tous les ans pour connaitre leur ressentis, l’étude ne serait plus à caution, alors que là se sont les nephro qui organisent les transp^lantation qui communiquent les infos, ils sont jugent et partis,
je met en doute leur intégrité ??? OUI, ce n’est pas une règle mais une généralité, c’est leur gagne pain, tout comme les labos
posez vous la questions si vous scierez la branche sur laquelle vous êtes assis ???
CQFD
ps: mais il y a des cas ou tout va bien selon les critères que le donneur c’est donné 😉