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, le il y a 8 années et 4 mois.
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Sujet
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Longtemps, la communication institutionnelle autour du don du vivant a été très discrète. Face au manque d’information, Renaloo a réalisé depuis 2011 plusieurs campagnes diffusées dans les grands médias, via des affiches abribus, sur le we…
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Réponses
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Vous êtes au courant que c’est octobre rose, avec une overdose sucrée de bons sentiments et surtout, surtout aller se faire depister, cible ou pas. Octobre,c’est les soutifs, les coeurs et les nœuds roses, les évènements destinés à aider la recherche mais dont on ne sait plus trop le pourcentage qui revient à l’asso et celui à l’entreprise événementielle
Somme faramineuse distribuée en com que les patients concernés et ceux concernés mais qui n’ont pas un cancer rose aimeraient bien voir dispatcher sur le bloc de béton à savoir soins et prises en charge?
Si en plus on rajoute le don vivant, cela va faire un super gloubiboulga.
Remarquez mieux vaut surtout rien toucher aux conditions de prélèvements d’organes en cas de décès. Idf sera contente, elle s’enquillera le nombre de refus mais verra le don vivant avec ses dérivés augmente.Si vous faites votre info, la , faudra pas vous plaindre que le cancer prend de la place. Estimez vous heureux, c’est juste le sein.
J’ai regardé de plus près. Les temoignages sont bien entendus touchants et concrets.
En revanche, je ne vois pas pourquoi on lit Anne Coureges, directrice de l’agence, nom et prénom du professeur du CHU de Lille et puis Béatrice, Yvan, Claudine …. Meme si ils souhaitent conserver un certain anonymat, on peut leur donner aussi un patronyme.
Pour tous ces courageux, on pourrait leur attribuer du respect.Ferait mieux de faire une campagne d’information sur le don cadavérique …
Plutôt que de charcuter des vivants :/Je comprends très bien ce que tu veux dire Vurtuel, mais tant qu’il y aura des oppositions idéologiques et obscurantistes dans notre société (rappelons-nous les oppositions gravement délirantes, venant de toute part, y compris même de l’ordre des médecins, lorsqu’il a été discuté de l’automatisation du don d’organe), ça sera très compliqué.
Le don vivant est une solution possible immédiate et dans le cas de la greffe de rein, elle n’a quasiment pas de répercussion sur la vie des donneurs, surtout que ça se fait beaucoup par cœlioscopie, donc on est loin du charcutage.
Les avantages sont nombreux et non négligables, meilleures survie du greffon, quasi pas d’immunisation pour les greffes ultérieures …
Peu de risques pour le donneur et effectivement peu de cicatrices en tout cas physique.
Le tabou qui entoure tout cela est assez mystérieux, c’est une option qui a une place de premier choix.
Les inconvénients aussi.
On engage des risques sur une personne “saine” qui a d’autant plus de chance de rentrer en dialyse à l’avenir.Faut pas rêver, la biologie est feignante.
Si on a deux reins par défaut, c’est bien qu’il y a un avantage de survie.Alors que bon d’un autre côté les dons cadavériques sont très loin d’être optimisés.
On pourrait greffé vachement plus si il n’y avait plus ces refus débiles du fait de croyance plus ou moins loufoques.
Je crois même si mes souvenirs sont bon qu’on pourrait résorber la liste d’attente en qq années rien qu’avec le cadavérique.
Bref la communication elle est là!Mais non, on fait les choses à l’envers, on promouvoit le vivant…
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