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Les hommes meurent mais ce sont les femmes qui sont malades…

Et la médecine…

Habituées à consulter un gynécologue dès l’adolescence, dans une optique de contrôle, les femmes ont un rapport préventif à la médecine.

Celui des hommes est plutôt curatif : ils attendent souvent longtemps avant de consulter un médecin.

Les femmes se connaissent mieux, elles perçoivent et interprètent mieux les signaux que leur envoie leur corps.

La santé, elles en connaissent un rayon du fait du rôle d’infirmière à domicile qui est le leur à la maison. Elles ne s’occupent pas seulement de leur propre santé mais écopent aussi du soin de s’occuper de celle des autres : enfants, petits enfants, mari, parents, beaux et grand parents.

Le rapport direct avec le médecin, l’hôpital ou le dispensaire, c’est elles. A force de les fréquenter, elles en apprennent beaucoup.

Passé un certain âge, les problèmes de santé deviennent le premier sujet de conversation des femmes entre elles. Se transmettent ainsi beaucoup d’expériences et de savoirs glanés au gré des événements qu’elles ont vécus en direct ou par l’entremise des autres.

D’un point de vue fonctionnel, la répartition inégalitaire des tâches domestiques, qui se maintient et souvent s’accentue chez les retraités et les personnes âgées, joue un rôle de révélateur très sensible d’incapacités chez les femmes. Elles les alertent.

Elles en savent plus, soit ! Mais pourquoi sont-elles plus souvent malades ? Elles ne se limitent pas à connaître mieux la question, elles reconnaissent aussi leurs maladies, elles les déclarent, les abordent de front, contrairement aux hommes, plus sourds et aveugles à leurs symptômes, qui ne consultent souvent que lorsqu’il est trop tard.

Elles consultent et se soignent, quitte à « s’arrêter » plus souvent et plus longtemps que les hommes, comme s’en plaignent de nombreux chefs d’entreprise ! Ce qui leur permet de vivre plus longtemps avec des maladies bien traitées.

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2 Commentaires

  • Pourquoi, comment ? Je ne sais pas !
    Prenez deux individus, mâle et femelle.Ils ont tous les deux 20 ans en cette année 1980. LUI vient d’apprendre qu’il est insuffisant rénal. ELLE, a été greffée à 18 ans, mais elle est retournée en dialyse. LUI, sombre dans la sinistrose avant qu’on ne lui présente ELLE. C’est le coup de foudre entre ELLE et LUI. A tel point que ELLE et LUI vont se marier alors qu’ils sont tous deux en dialyse. ELLE et LUI iront jusqu’à envisager d’avoir un enfant malgré les dialyses.
    En 1990 LUI est greffé ainsi que ELLE. Deux enfants vont naître en 1991 et 1992.
    ELLE, après ses deux grossesses doit revenir en dialyse. Après sa 3eme greffe ELLE décide de séparer de LUI.
    LUI ne s’est jamais arrêté de travailler. ELLE, ayant obtenu la garde des enfants, continue à percevoir la pension alimentaire.
    20 ans après, LUI travaille toujours, n’a jamais refait sa vie, et continue à verser à ELLE la pension alimentaire.

    Conclusion : t’es un mec … alors fermes ta gueule. T’auras aucune chance et tu continueras à cracher au bassinet.

  • Fin de l’histoire triste certes mais bien sûr réaliste.
    Mais, je peux te raconter la même histoire avec une fin différente.
    LUI et ELLE se sont mariés mais n’ont pas eu d’enfant. Quel dommage ! et 30 ans après, ELLE meure prématurément d’une embolie pulmonaire. Qu’est-ce qui reste ? LUI et il n’a toujours pas refait sa vie.
    Bon courage et Bonne chance pour la suite.

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