La galerie
A 48 heures de notre hospitalisation, il faut fêter ça ! Nous vérifions l'adage "avant l'effort, le réconfort" au restaurant…
Le 29 mai 2002, direction l'hôpital.
Nous nous installons dans notre chambre, le moral est au beau fixe.
31 mai 2002, quelques heures après l'intervention. Changement d'ambiance…
Les soins et les contrôles se succèdent…
Nous parvenons tout de même à échanger quelques mots par téléphone.
Une ébauche de "sourire" peu après mon retour de réa
Notre premier vrai repas. Quelle application !
Un plateau d'hôpital ? Non, un festin de rois…
Les jours passent, les choses vont de mieux en mieux, le téléphone est toujours très sollicité… Famille et amis viennent aux nouvelles.
Première sortie, objectif : le couloir (c'est déjà pas si mal !).
Pas peu fières de notre exploit…
Le tableau sur lequel tous nos résultats sont consignés, jour après jour.
C'est l'heure de comparer nos cicatrices respectives, nos "blessures de guerre"…
Celle de la "donneuse", recousue.
Celle de la receveuse, agrafée.
Vendredi 7 juin 2002, quelques instants avant notre sortie. Ma tante venue nous rendre visite immortalise notre bonheur à tous les trois.
Nous retrouvons un cadre plus familier, sous le soleil de juin. La convalescence va prendre des airs de grandes vacances…
Le rituel des prises de sang s'organise, deux fois par semaine tout d'abord…
Le matin, à jeun, je remplis les tubes qui m'ont été confiés, en fonction des examens prescrits par le néphrologue.
C'est quand même bien quand c'est fini !
Ensuite, après avoir pris mes anti-rejets, je me rends à l'hôpital, où je dépose les tubes…
Je récupère également les résultats des examens précédents, que je consigne dans un tableau prévu à cet effet, en attendant ma consultation avec le médecin.