Voici les articles étiquetés avec le mot clé : don d’organes
Pour le receveur, la greffe d’un rein provenant d’un donneur vivant présente des avantages très importants : C’est le traitement le plus efficace de l’insuffisance rénale terminale C’est le traitement qui permet la meilleure qualité de vie… C’est le traitement qui permet la plus longue espérance de vie… … le tout sans altérer la santé […]Lire la suite
Ce type de don est actuellement encadré par la loi de bioéthique. Cette loi a été modifiée en 2004. Une nouvelle révision a été adoptée en juin 2011. A l'heure actuelle, peuvent donner un rein de leur vivant : Le père, la mère du receveur ainsi que par dérogation : son fils, sa fille son conjoint […]Lire la suite
Parce que la mort et la maladie sont injustes. Elles frappent au hasard et sans raison, la douleur et la peur sont leurs alliées. Une famille, qui voit un être cher lui être arraché. Un malade, qui voit sa vie lui échapper. Donner, c'est refuser l'inéluctable. C'est donner un sens à ce qui aurait pu […]Lire la suite
La première égalité, c’est l’équité. Victor Hugo, extrait de ” Les Misérables “ Commençons par un fait, largement évoqué dans ces pages : il y a plus de candidats en attente de greffe que d’organes disponibles. C’est cette situation de pénurie qui a conduit à la création d’une liste d’attente sur laquelle sont inscrits les […]Lire la suite
Voici les principales déclarations des députés relatives aux greffes d’organes, prononcées lors de l’ouverture de la séance consacrée à la révision des lois de bioéthique, le mardi 9 décembre 2003. Leur lecture peut sembler un peu rébarbative mais si on s’accroche, elle permet de mieux cerner les enjeux, les positionnements et les freins qui animent les […]Lire la suite
Le Japon est le seul pays, parmi les grandes nations développées, qui ait attendu 1997 pour reconnaître officiellement la mort cérébrale comme fin de la vie. Le Danemark, qui a longtemps porté un regard négatif sur la mort cérébrale, critiqué par ses voisins pour son “égoïsme en matière d’organe”, l’a finalement reconnue comme mort humaine […]Lire la suite
Cette question peut paraître dérisoire et surprenante au regard de la multitude d'autres décisions qu'est amené à prendre un candidat à la greffe. Pourtant, elle a une importance qui peut être considérable. Personne ne peut vous imposer tel ou tel établissement, vous avez une liberté totale à ce niveau. La loi du 4 mars 2002 […]Lire la suite
Les greffés sont soumis à de très réguliers examens sanguins, surtout durant les mois qui suivent directement la transplantation. Ils servent à juger de la fonction du greffon, mais aussi à évaluer divers critères qui peuvent avoir des conséquences sur la santé du greffé. La liste suivante n'est absolument pas exhaustive, n'hésitez pas à nous contacter pour toute […]Lire la suite
Pour qu’il puisse y avoir greffe, il faut qu’il y ait prélèvement… A l’heure actuelle, les organes greffés peuvent provenir de donneurs vivants ou de personnes décédées. Cette rubrique est consacrée à ce type de prélèvement qui intervient après la mort du donneur. C’est un état très différent du coma, puisque le cerveau est définitivement […]Lire la suite