Voici les articles étiquetés avec le mot clé : donneur d’organes
On parle de don d’organe altruiste (ou de bon samaritain) lorsqu’une personne propose spontanément de donner un de ses reins à un inconnu en attente de greffe. Les facteurs de motivation de ce type de donneurs peuvent être divers : la religion, un transplanté du rein dans l’entourage, le deuil d’un proche, les campagnes médiatiques […]Lire la suite
Le coût de la prise en charge de l'insuffisance rénale terminale et la perspective des révisions successives de la loi de bioéthique incite régulièrement ceux qui nous gouvernent à se pencher sur les greffes à partir de donneurs vivants. Pourtant, le sujet est loin de faire consensus et la frilosité l'emporte souvent sur la raison. […]Lire la suite
Compte tenu de la pénurie d'organes que connaît notre société à l'heure actuelle, et des délais d'attente souvent très importants dans le cas des greffes de rein, cette solution apparaît comme très intéressante pour de nombreux malades. Malgré tout, des réticences existent, à la fois au sein de la communauté des néphrologues (y compris dans […]Lire la suite
Le don d’organes entre vivants est très diversement développé selon les pays, entre les pays d’Europe du Nord et les Etats-Unis où le pourcentage de greffe entre vivants évolue entre 30 et 40 % et les pays du Sud comme l’Espagne ou l’Italie où elle se situe vers 5 %. La restriction du don d’organes […]Lire la suite
Le prélèvement d’un rein en vue d’une greffe s’appelle une néphrectomie unilatérale. C’est une intervention chirurgicale pratiquée couramment depuis le début du XXe siècle pour de nombreuses autres causes, notamment les traumatismes qui imposent l’ablation d’un rein. Sa réalisation nécessite dans tous les cas une anesthésie générale. Il existe deux techniques chirurgicales de prélèvement : […]Lire la suite
Chez une personne volontaire et en bonne santé, un rein peut être prélevé sans danger en vue de don. On vit en effet tout à fait normalement avec un seul rein. Il n'y a pas réellement d'âge limite pour donner, les médecins auront plus tendance à parler d'âge " biologique ", c'est à dire l'état […]Lire la suite
Peut-on reprendre une vie normale après avoir donné un rein ? Il n’y a aucune raison pour que le donneur change ses habitudes de vie après avoir donné un rein. Lorsqu’il partage la vie du futur receveur, il y a fort à parier que la qualité de vie du couple sera largement améliorée par son […]Lire la suite
Pour le receveur, la greffe d’un rein provenant d’un donneur vivant présente des avantages très importants : C’est le traitement le plus efficace de l’insuffisance rénale terminale C’est le traitement qui permet la meilleure qualité de vie… C’est le traitement qui permet la plus longue espérance de vie… … le tout sans altérer la santé […]Lire la suite
Ce type de don est actuellement encadré par la loi de bioéthique. Cette loi a été modifiée en 2004. Une nouvelle révision a été adoptée en juin 2011. A l'heure actuelle, peuvent donner un rein de leur vivant : Le père, la mère du receveur ainsi que par dérogation : son fils, sa fille son conjoint […]Lire la suite
Parce que la mort et la maladie sont injustes. Elles frappent au hasard et sans raison, la douleur et la peur sont leurs alliées. Une famille, qui voit un être cher lui être arraché. Un malade, qui voit sa vie lui échapper. Donner, c'est refuser l'inéluctable. C'est donner un sens à ce qui aurait pu […]Lire la suite